J’ai pris connaissance avec un certain retard de la lettre par laquelle vous m’interpelez, dans les colonnes du journal le Calame. Je comprends qu’il a été laborieux pour vous de mettre la main sur ma boite postale et que vous soyez obligé de donner la primeur d’une lettre qui m’est adressée aux lecteurs du Calame. Je n’en suis pas offusqué et j’apprécie d’ailleurs le professionnalisme de ce journal, bien que je ne le lise qu’avec une régularité douteuse.
La capitale mauritanienne, Nouakchott, vibre d'une énergie nouvelle.