Quand les media publics joueront-ils le jeu de la démocratie et du pluralisme ? Quand entendront-ils qu’ils ne sont pas au service d’un seul pouvoir ou candidat mais de tous et, au-delà, de toute la classe politique, majorité comme opposition ; plus généralement encore, de toute opinion ? Comment leur faire comprendre qu’ils fonctionnent avec l’argent du contribuable – c’est-à-dire de nous tous – et doivent en conséquence véhiculer la voix de tout un chacun ? Au vu de leur contenu, il y a en tout cas loin de la coupe aux lèvres.

Le Conseil des Ministres s’est réuni le jeudi 30 mai 2024, sous la Présidence de Son Excellence Monsieur le Président de la République, Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani.

Le Conseil a examiné et approuvé les deux projets de lois suivants :

‐ Projet de loi autorisant la ratification de l’accord de financement, signé le 22 mai 2024, entre la République Islamique de Mauritanie et l’Association Internationale de Développement (IDA), destiné au deuxième financement additionnel pour le projet d’Appui au Système de Filets Sociaux II.

La scène économique mondiale actuelle est marquée par une forte tendance des pays à former des blocs économiques régionaux, en raison des avantages que les fusions offrent pour l'expansion des marchés et des opportunités qu'elles offrent en matière de coordination des efforts à faire face aux défis de l’heure.

C’est au départ en candidat à l’élection présidentielle qu’Ould Abdel Aziz vient d’adresser une lettre ouverte au président de la République. Une démarche à tout le moins étrange, a priori : l’interlocuteur naturel d’un prétendant à ce titre n’est-il pas le peuple souverain, uniquement le peuple souverain ?

Le président de la République a annoncé la composition de son directoire de campagne quelques jours après avoir déposé, himself, son dossier de candidature au Conseil Constitutionnel. Enfin, serait-on tenté de dire tant l’annonce était attendue à un peu plus d’un mois d’une élection qu’on espère plus ouverte que certains veulent le faire croire. Une hypothèse vraiment plausible ?

On peut parler, sans aucun doute, d’un miracle mauritanien.                                                                                          L’arrivée au pouvoir de GHAZOUANI, en 2019, ouvre un nouveau cycle, fortement dynamique : le développement pour renforcer la stabilité, le dialogue social et la prospérité.
A l’orée de son premier mandat, Monsieur GHAZOUANI, a annoncé son programme le 29 janvier 2020 dans le quartier de Tarhil à Toujounine : Faire entrer notre pays dans l’émergence à l’horizon 2025.

Le Conseil des ministres s’est réuni le lundi 20 mai 2024, sous la Présidence de Son Excellence Monsieur le Président de la République, Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani.

Le Conseil a examiné et adopté les projets de décrets suivants :

‐ Projet de décret portant nomination du Président et des membres du Conseil d’Administration de l’Etablissement Portuaire de la Baie du Repos (EPBR).

‐ Projet de décret portant nomination du Président du Conseil d’Administration du Centre Supérieur d’Enseignement Technique (CSET).

 et l’approbation active des pays occidentaux. Et, pourtant, ces juifs ne constituent qu’une minorité sinon une marginalité. Dans le monde, ils ne représentent que 0,025%. Ils sont 2% de la population des Etats-Unis, en France, 0,67% et en Allemagne 0,113 %. Ces pays, et la France en particulier, en traitant les combattants palestiniens de terroristes insulte son histoire en utilisant le même qualificatif que les nazis utilisaient pour désigner les résistants français. L’Allemagne est le pays qui soutient le plus l’Etat d’Israël, sans doute en expiation de la période nazie.

 Il a mis en tête de priorités de son programme, l’avenir de la jeunesse mauritanienne. Celle-ci confronté principalement au problème de l’emploi est de plus en plus tentée par l’émigration en particulier vers les Etats-Unis, mais aussi l’Europe. Les jeunes de moins de 20 ans représentent plus de 52% de nos 4 878 988 habitants en 2023. La situation de cette jeunesse trouve son origine dans • Un enseignement inadéquat ou les perspectives d’enseignement supérieures sont largement dominés par les filières littéraires.

Le président de la République était à Nouadhibou il y a quelques jours. Il s’est rendu à Kiffa samedi dernier. Quoi de plus normal à moins de deux mois d’une élection présidentielle où il est candidat à sa propre succession ?

Il est donc allé présider un conseil des ministres dans la capitale économique et y tenir une réunion des cadres, inaugurer des adductions d’eau et d’autres projets beaucoup moins importants mais toujours utiles… lorsqu’il s’agit de rameuter les troupes. Et pour un coup d’essai, ce fut un coup de maître.